Dès le Mardi
25 au 29 Février 2020
Maîtres anciens, un texte de Thomas Bernhard, mis en scène par Éric Didry, avec Nicolas Bouchaud, à découvrir du 25 au 29 février 2020 au Théâtre de Vidy, Lausanne.
Nicolas Bouchaud prend en charge la vindicte satirique de Thomas Bernhard, à travers une comédie pour une voix seule, aussi drôle que cruelle, qui s’en prend à tout ce qu’il perçoit comme médiocre – une diatribe percutante qu’on découvre bientôt tendue au-dessus du gouffre du deuil et du désespoir.
Reger, critique musical, se rend au musée de Vienne tous les deux jours. Cette fois, il a convoqué son ami Atzbacher et l’attend devant L’homme à la barbe blanche, chef-d’œuvre du Tintoret.
Il va se lancer, porté par une nécessité qui semble vitale, dans un redoutable réquisitoire contre tout ce qui l’entoure et qui, à ces yeux, transpire les valeurs fausses et l’autosatisfaction: les maîtres anciens de l’art, les femmes de ménage, les journalistes, l’Église, son appartement, sa femme, le gouvernement et tous les philosophes réunis. Personne n’échappe à sa détestation.
L’écriture de l’Autrichien Thomas Bernhard se fait tour à tour furibarde et sévère, grotesque et acerbe, pour faire tomber les masques et naître un rire libérateur.
Avec ce troisième monologue présenté à Vidy, après John Berger et Paul Celan, l’acteur Nicolas Bouchaud mis en scène par Éric Didry poursuit ainsi une série de monologues composés à partir de quelques-unes des écritures les plus singulières du XX e siècle. Chaque texte est l’occasion de découvrir une langue, un souffle, une vision – et finalement une variation sur l’art et sur l’acteur.
Avec Maîtres anciens, sous-titré comédie, il se confronte cette fois au phrasé puissant et incarné, quasiment sans ponctuation, d’un des plus virulents satiristes de notre temps, offrant un spectacle aussi caustique que jubilatoire.
► En relation avec le spectacle: jeudi 27, rencontre avec les artistes à l'issue du spectacle
Nicolas Bouchaud prend en charge la vindicte satirique de Thomas Bernhard, à travers une comédie pour une voix seule, aussi drôle que cruelle, qui s’en prend à tout ce qu’il perçoit comme médiocre – une diatribe percutante qu’on découvre bientôt tendue au-dessus du gouffre du deuil et du désespoir.
Reger, critique musical, se rend au musée de Vienne tous les deux jours. Cette fois, il a convoqué son ami Atzbacher et l’attend devant L’homme à la barbe blanche, chef-d’œuvre du Tintoret.
Il va se lancer, porté par une nécessité qui semble vitale, dans un redoutable réquisitoire contre tout ce qui l’entoure et qui, à ces yeux, transpire les valeurs fausses et l’autosatisfaction: les maîtres anciens de l’art, les femmes de ménage, les journalistes, l’Église, son appartement, sa femme, le gouvernement et tous les philosophes réunis. Personne n’échappe à sa détestation.
L’écriture de l’Autrichien Thomas Bernhard se fait tour à tour furibarde et sévère, grotesque et acerbe, pour faire tomber les masques et naître un rire libérateur.
Avec ce troisième monologue présenté à Vidy, après John Berger et Paul Celan, l’acteur Nicolas Bouchaud mis en scène par Éric Didry poursuit ainsi une série de monologues composés à partir de quelques-unes des écritures les plus singulières du XX e siècle. Chaque texte est l’occasion de découvrir une langue, un souffle, une vision – et finalement une variation sur l’art et sur l’acteur.
Avec Maîtres anciens, sous-titré comédie, il se confronte cette fois au phrasé puissant et incarné, quasiment sans ponctuation, d’un des plus virulents satiristes de notre temps, offrant un spectacle aussi caustique que jubilatoire.
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