Dès le Mercredi
14 au 15 Août 2024
Ten Ways to put up a Tent, une proposition de Tejus Menon à découvrir les 14 et 15 août 20224 à la Salle communale de Nyon.
Avec facétie, Tejus Menon s’empare du camping, une activité particulièrement formative pour les occidentaux - et spécifiquement pour les suisses - qui s’impose rapidement dans son pays natal, l’Inde.
Si pour les un·e·x·s la pratique est associée au bien-être, pour les autres, elle est marquée au fer rouge par l’histoire des empires coloniaux et des expansions territoriales.
Ten Ways to put up a Tent s’affirme comme une chorégraphie décoloniale jouissive, qui confronte et dynamite les points de vue.
« Le camping est un acte de foi et de survie.
Alors qu’il marche vers l’inconnu, Q se sent bien préparé. Q a de l’eau, de la nourriture et, surtout, un abri. Q est un adulte à part entière et a décidé, à la manière d’un rite de passage, de sortir et d’établir un lien avec la nature. En ce qui concerne le rite de passage, aucun des ancêtres récents de Q n’a jamais volontairement pris une tente et marché dans une forêt pour s’amuser.
L’acte de monter une tente est un acte précaire, ce qui semble être un acte d’habitation temporaire conduit rapidement à un campement, une partie de chasse, un relevé trigonométrique, une voie ferrée, et avant que vous ne vous en rendiez compte, ils se battent pour l’indépendance et d’autres trucs. Parfois, ce n’est pas comme ça, parfois, c’est juste deux jours dans les alpes. » (Tejus Menon)
parcours Faire halte ensemble
Avec facétie, Tejus Menon s’empare du camping, une activité particulièrement formative pour les occidentaux - et spécifiquement pour les suisses - qui s’impose rapidement dans son pays natal, l’Inde.
Si pour les un·e·x·s la pratique est associée au bien-être, pour les autres, elle est marquée au fer rouge par l’histoire des empires coloniaux et des expansions territoriales.
Ten Ways to put up a Tent s’affirme comme une chorégraphie décoloniale jouissive, qui confronte et dynamite les points de vue.
« Le camping est un acte de foi et de survie.
Alors qu’il marche vers l’inconnu, Q se sent bien préparé. Q a de l’eau, de la nourriture et, surtout, un abri. Q est un adulte à part entière et a décidé, à la manière d’un rite de passage, de sortir et d’établir un lien avec la nature. En ce qui concerne le rite de passage, aucun des ancêtres récents de Q n’a jamais volontairement pris une tente et marché dans une forêt pour s’amuser.
L’acte de monter une tente est un acte précaire, ce qui semble être un acte d’habitation temporaire conduit rapidement à un campement, une partie de chasse, un relevé trigonométrique, une voie ferrée, et avant que vous ne vous en rendiez compte, ils se battent pour l’indépendance et d’autres trucs. Parfois, ce n’est pas comme ça, parfois, c’est juste deux jours dans les alpes. » (Tejus Menon)
parcours Faire halte ensemble
Dans le cadre du far° - festival et fabrique des arts vivants
Tejus Menon, conception, direction artistique et performance
Tejus Menon, Johanna Heusser, chorégraphie
Pour s’y rendre
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