Dimanche
18 Décembre 2016
La Compagnie Käfig dirigé par Mourad Merzouki nous présente deux pièces au Théâtre de Beausobre à Morges le 18 décembre 2016.
À la source de ce projet, une rencontre: celle de Mourad Merzouki, directeur du Centre Chorégraphique National de Créteil, avec les danseurs de la Companhia Urbana de Dança, dirigée par Sonia Destri. Les danseurs, originaires des favelas de Rio, mélangent hip-hop, capoeira, samba, musique électronique et bossa nova pour faire émerger une danse aux acrobaties époustouflantes. Leur sensibilité fait écho au travail artistique de la Compagnie Käfig, fondée il y a vingt ans par Mourad Merzouki et qui s’inscrit au confluent de multiples courants chorégraphiques et artistiques.
Les deux pièces présentées témoignent du talent et de l’extraordinaire créativité de ces deux compagnies. Correria nous plonge auparavant dans une course trépidante contre le temps. Défiant la gravité, les corps se mélangent, virevoltent au ralenti ou en accéléré, dans une succession de tableaux à couper le souffle. Vient alors Agwa, véritable ode à l’écologie, dans laquelle les danseurs évoluent entre des centaines de gobelets sculptant l’espace, dans un style acrobatique assemblant subtilement hip-hop et capoeira.
À la source de ce projet, une rencontre: celle de Mourad Merzouki, directeur du Centre Chorégraphique National de Créteil, avec les danseurs de la Companhia Urbana de Dança, dirigée par Sonia Destri. Les danseurs, originaires des favelas de Rio, mélangent hip-hop, capoeira, samba, musique électronique et bossa nova pour faire émerger une danse aux acrobaties époustouflantes. Leur sensibilité fait écho au travail artistique de la Compagnie Käfig, fondée il y a vingt ans par Mourad Merzouki et qui s’inscrit au confluent de multiples courants chorégraphiques et artistiques.
Les deux pièces présentées témoignent du talent et de l’extraordinaire créativité de ces deux compagnies. Correria nous plonge auparavant dans une course trépidante contre le temps. Défiant la gravité, les corps se mélangent, virevoltent au ralenti ou en accéléré, dans une succession de tableaux à couper le souffle. Vient alors Agwa, véritable ode à l’écologie, dans laquelle les danseurs évoluent entre des centaines de gobelets sculptant l’espace, dans un style acrobatique assemblant subtilement hip-hop et capoeira.
Direction artistique Mourad Merzouki, chorégraphies Mourad Merzouki, Kader Attou, Anthony Egea, Marion Motin et Bouba Landrille Tchouda
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