Dès le Mardi
5 au 10 Février 2019
Dolores Circus, une pièce chorégraphique de Cisco Aznar à découvrir au Théâtre La Grange de Dorigny à Lausanne du 5 au 10 février 2019.
Peut-on dire qu’il y a un concept cosmologique de la douleur? Une douleur partagée par tous les êtres vivants qui peuplent notre planète? Une douleur intrinsèque à l’existence? Nous appelons douleur les intenses sentiments de chagrin, de tristesse ou de dommage insupportable; les sensations désagréables causées par une blessure ou une maladie; le gênant bourdonnement engendré par le rejet, l’abandon, la trahison, l’humiliation, ou encore l’injustice. Nous sentons et vivons avec la douleur d’une façon tangible et figurative. Nous la communiquons, la transportons et essayons même parfois de l’éviter ou de la cacher. Qu’est-ce qui fait le plus de mal à l’univers? Quelle est sa plus grande douleur? Y a-t-il une danse de la douleur? Une danse contre la douleur? Ces approches et enjeux primordiaux agissent comme une pulsion à cette pièce, acte créatif et poème éclectique, qui s’exprime par la performance, l’installation et le documentaire. Dolores Circus est un antidote à la douleur, une drogue pour calmer la souffrance, mais aussi un doigt impitoyable qui décortique les plaies ouvertes, à faire crier et gémir jusqu’à ce que l’on reprenne conscience.
C’est une visite guidée dans les chambres magiques d’une diseuse de bonne aventures, qui, avec des astuces et des sorts, parviendra à étancher la soif du visiteur, en troublant son âme à tout jamais. C’est une thérapie ou un acte psycho-magique, qui ne garantit aucune guérison ni se rend responsable de ses effets secondaires. Un espace de création qui doit accueillir la protestation pour l’élever au rang de poésie, où l’ironie parfume le geste de ceux qui officient le rituel. Dans son rôle double et antagoniste, Dolores Circus est un pont entre l’ici et l’au-delà, un espace sacré où le "rétro" et le "jamais vu" coexistent dans une harmonie de fausses notes, et où la beauté et la douleur dansent un tango infini qui transmue le coeur. Un cabaret mystique dans le style si particulier propre à Cisco Aznar.
► Samedi 24 novembre à 16h30 - Les enseignant·e·s et les étudiant·e·s de la Section d’espagnol de l’UNIL préparent, dans le cadre de leur cursus, quelques surprises "autour du spectacle".
Peut-on dire qu’il y a un concept cosmologique de la douleur? Une douleur partagée par tous les êtres vivants qui peuplent notre planète? Une douleur intrinsèque à l’existence? Nous appelons douleur les intenses sentiments de chagrin, de tristesse ou de dommage insupportable; les sensations désagréables causées par une blessure ou une maladie; le gênant bourdonnement engendré par le rejet, l’abandon, la trahison, l’humiliation, ou encore l’injustice. Nous sentons et vivons avec la douleur d’une façon tangible et figurative. Nous la communiquons, la transportons et essayons même parfois de l’éviter ou de la cacher. Qu’est-ce qui fait le plus de mal à l’univers? Quelle est sa plus grande douleur? Y a-t-il une danse de la douleur? Une danse contre la douleur? Ces approches et enjeux primordiaux agissent comme une pulsion à cette pièce, acte créatif et poème éclectique, qui s’exprime par la performance, l’installation et le documentaire. Dolores Circus est un antidote à la douleur, une drogue pour calmer la souffrance, mais aussi un doigt impitoyable qui décortique les plaies ouvertes, à faire crier et gémir jusqu’à ce que l’on reprenne conscience.
C’est une visite guidée dans les chambres magiques d’une diseuse de bonne aventures, qui, avec des astuces et des sorts, parviendra à étancher la soif du visiteur, en troublant son âme à tout jamais. C’est une thérapie ou un acte psycho-magique, qui ne garantit aucune guérison ni se rend responsable de ses effets secondaires. Un espace de création qui doit accueillir la protestation pour l’élever au rang de poésie, où l’ironie parfume le geste de ceux qui officient le rituel. Dans son rôle double et antagoniste, Dolores Circus est un pont entre l’ici et l’au-delà, un espace sacré où le "rétro" et le "jamais vu" coexistent dans une harmonie de fausses notes, et où la beauté et la douleur dansent un tango infini qui transmue le coeur. Un cabaret mystique dans le style si particulier propre à Cisco Aznar.
Autour du spectacle
► Samedi 24 novembre à 16h30 - Les enseignant·e·s et les étudiant·e·s de la Section d’espagnol de l’UNIL préparent, dans le cadre de leur cursus, quelques surprises "autour du spectacle".
Direction et chorégraphie Cisco Aznar
Par l’Association Ex’Torsions
Avec Fernanda Barbosa, Yannis François et Noah Hellwig
Avec Fernanda Barbosa, Yannis François et Noah Hellwig
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