Mercredi
9 Novembre 2016
Le quatuor Salut salon se produira sur la scène du Théâtre de Beausobre à Morges le 9 novembre 2016.
Elles sont talentueuses, sexy en diable et le public du monde entier se presse à leurs concerts, depuis que leur parodie de L’Été des Quatre Saisons de Vivaldi a été visionnée plus de 20 millions de fois sur YouTube. Il faut dire que ce quatuor à cordes, créé à Hambourg au début des années 2000 par des amies d’enfance, possède toutes les qualités. Musiciennes, chanteuses, humoristes et aussi un peu acrobates, les quatre artistes, surnommées "Les Harlem Globetrotters du quatuor à cordes", bousculent les codes de la musique de chambre avec un talent remarquable.
Sous leurs archets, Bach et Liszt se métamorphosent en pop chinoise ou en folk finlandaise, le générique d’une série policière interrompt une pièce de Mendelssohn, le chant dissonant d’un envol d’oiseaux succède à un tango d’Astor Piazzolla, le tout dans un joyeux tumulte. Les notes bifurquent, les partitions prennent du relief, les archets passent d’un instrument à l’autre et l’on s’amuse follement devant ce ballet poético-humoristique, qui démontre que la musique classique sera toujours un art populaire.
Elles sont talentueuses, sexy en diable et le public du monde entier se presse à leurs concerts, depuis que leur parodie de L’Été des Quatre Saisons de Vivaldi a été visionnée plus de 20 millions de fois sur YouTube. Il faut dire que ce quatuor à cordes, créé à Hambourg au début des années 2000 par des amies d’enfance, possède toutes les qualités. Musiciennes, chanteuses, humoristes et aussi un peu acrobates, les quatre artistes, surnommées "Les Harlem Globetrotters du quatuor à cordes", bousculent les codes de la musique de chambre avec un talent remarquable.
Sous leurs archets, Bach et Liszt se métamorphosent en pop chinoise ou en folk finlandaise, le générique d’une série policière interrompt une pièce de Mendelssohn, le chant dissonant d’un envol d’oiseaux succède à un tango d’Astor Piazzolla, le tout dans un joyeux tumulte. Les notes bifurquent, les partitions prennent du relief, les archets passent d’un instrument à l’autre et l’on s’amuse follement devant ce ballet poético-humoristique, qui démontre que la musique classique sera toujours un art populaire.
Création et mise en scène Salut Salon
Angelika Bachmann, violon
Iris Siegfried, violon et chant
Anne-Monika von Twardowski, piano
Sonja Lena Schmid, violoncelle
Iris Siegfried, violon et chant
Anne-Monika von Twardowski, piano
Sonja Lena Schmid, violoncelle
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