Samedi
25 Mars 2017
L’Octogone à Pully accueille Le Chaâbi au Féminin le 25 mars 2017.
Né à proximité des mosquées, élevé dans les cafés de la Casbah d’Alger, devenu majeur dans ceux de Barbès, le chaâbi a grandi dans un monde aux scènes sans femmes (ou presque). Pourtant, ce blues maghrébin s’avère souvent porté par une poésie profondément sentimentale. Chaâbi au Féminin est un groupe de femmes qui se sont emparées d’un répertoire de chants traditionnels populaires exclusivement réservé aux hommes. Une aventure inédite, lancée à Paris en mai 2013 par Mourad Achour, avec des voix féminines qui réinventent la célèbre tradition d’Alger. Ce spectacle, destiné à rendre hommage aux auteurs, compositeurs et interprètes donne aux femmes leur vraie place dans cette musique.
On aurait tort de croire que l’amour du chaâbi algérois, son état d’esprit et sa transmission soit l’apanage des hommes. La sensibilité féminine apporte une autre dimension sans déformer le fond. Il découvre son sens premier et une nouvelle dynamique. Notamment lorsqu’il s’agit de quatre chanteuses issues des différentes régions d’Algérie qui ont nourri le chaâbi. Une rare occasion d’écouter de grands classiques d’une oreille neuve.
Né à proximité des mosquées, élevé dans les cafés de la Casbah d’Alger, devenu majeur dans ceux de Barbès, le chaâbi a grandi dans un monde aux scènes sans femmes (ou presque). Pourtant, ce blues maghrébin s’avère souvent porté par une poésie profondément sentimentale. Chaâbi au Féminin est un groupe de femmes qui se sont emparées d’un répertoire de chants traditionnels populaires exclusivement réservé aux hommes. Une aventure inédite, lancée à Paris en mai 2013 par Mourad Achour, avec des voix féminines qui réinventent la célèbre tradition d’Alger. Ce spectacle, destiné à rendre hommage aux auteurs, compositeurs et interprètes donne aux femmes leur vraie place dans cette musique.
On aurait tort de croire que l’amour du chaâbi algérois, son état d’esprit et sa transmission soit l’apanage des hommes. La sensibilité féminine apporte une autre dimension sans déformer le fond. Il découvre son sens premier et une nouvelle dynamique. Notamment lorsqu’il s’agit de quatre chanteuses issues des différentes régions d’Algérie qui ont nourri le chaâbi. Une rare occasion d’écouter de grands classiques d’une oreille neuve.
Nacera, Fasila, Selma, Djamila, chant
Mokrane Adlani, violon
Direction musicale Khaled Rezkallah Bensaid
Mokrane Adlani, violon
Direction musicale Khaled Rezkallah Bensaid
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