Dès le Mercredi
15 au 19 Novembre 2023
Vincent Riebeek et Nica Roses présentent Don't Clap for Crap, une performance à découvrir du 15 au 19 novembre 2023 à l'Arsenic, Lausanne.
Ici, rien n’est lissé, rien n’est filtré, tout est liberté.
Don’t clap for Crap (not another shit show) est une reprise de Kein Applaus für Scheisse, interprété pour la première fois par Florentina Holzinger - autrice de Tanz, à l'Arsenic en 2022 et 2023 - et Vincent Riebeek en 2010, il y a 13 ans.
Art ou kitsch, difficile à dire quand leurs performances des années soixante-dix croisent leurs numéros de cirque. Entre danse, pop trash, théâtre, numéros chantés et différents intermèdes, Vincent Riebeek et Nica Roses aux identités multiples, poussent les limites aux extrêmes, renversent les conventions pour mieux nous libérer.
Cette nouvelle interprétation s’empare des notions de confiance, de fraternité et d’amour entre le duo, entre le duo et le public, comme une invitation à partager avec eux une manière d’être au monde que peut être seul l’endroit du théâtre nous autorise à vivre.
Tout fantasme aussi fou que l’inimaginable trouve finalement sa place ici, dans une authenticité devenue rare, et c’est jouissif.
Vincent Riebeek crée des œuvres provocantes à la frontière entre l’art et le divertissement. Il remet en question et repousse les limites de ce que peuvent être la danse et la performance. Il n’hésite pas à remettre en question les conventions et intègre les influences de ce que l’on appelle le “high” et le “low” art. Nica Roses (néx en 1988 à Rosario, Argentine) est unx artiste de la performance et unx chercheurx en mouvement corporel basée à Amsterdam. Sa pratique se concentre sur l’exploration de l’intimité par la performance-danse, des installations et le relational art. Iel travaille sur les environnements sensoriellement immersifs autour du corps.
Ici, rien n’est lissé, rien n’est filtré, tout est liberté.
Don’t clap for Crap (not another shit show) est une reprise de Kein Applaus für Scheisse, interprété pour la première fois par Florentina Holzinger - autrice de Tanz, à l'Arsenic en 2022 et 2023 - et Vincent Riebeek en 2010, il y a 13 ans.
Art ou kitsch, difficile à dire quand leurs performances des années soixante-dix croisent leurs numéros de cirque. Entre danse, pop trash, théâtre, numéros chantés et différents intermèdes, Vincent Riebeek et Nica Roses aux identités multiples, poussent les limites aux extrêmes, renversent les conventions pour mieux nous libérer.
Cette nouvelle interprétation s’empare des notions de confiance, de fraternité et d’amour entre le duo, entre le duo et le public, comme une invitation à partager avec eux une manière d’être au monde que peut être seul l’endroit du théâtre nous autorise à vivre.
Tout fantasme aussi fou que l’inimaginable trouve finalement sa place ici, dans une authenticité devenue rare, et c’est jouissif.
Vincent Riebeek crée des œuvres provocantes à la frontière entre l’art et le divertissement. Il remet en question et repousse les limites de ce que peuvent être la danse et la performance. Il n’hésite pas à remettre en question les conventions et intègre les influences de ce que l’on appelle le “high” et le “low” art. Nica Roses (néx en 1988 à Rosario, Argentine) est unx artiste de la performance et unx chercheurx en mouvement corporel basée à Amsterdam. Sa pratique se concentre sur l’exploration de l’intimité par la performance-danse, des installations et le relational art. Iel travaille sur les environnements sensoriellement immersifs autour du corps.
Vincent Riebeek, Nica Roses, performances
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