Dès le Vendredi
24 au 24 Novembre 2017
Sweet Justice, une pièce de Guy A. Bottequin mise en scène par Alain Carré à découvrir à l’Opéra de Lausanne le 24 novembre 2017.
Plus qu’un simple processus de résolution de conflits, la médiation est un art exigeant qui s’apprend. Indépendance, impartialité, neutralité et stricte confidentialité sont les vertus exigées obligatoires du médiateur. En bon chef d’orchestre, il manie avec escient l’écoute ininterrompue des doléances et des besoins des parties. Le médiateur seul peut interrompre pour poser des petites questions ouvertes et efficaces. La reformulation, les silences positifs, l’appel au vécu des parties et à leurs émotions, le décryptage des communications non verbales ainsi que des outils spécifiques tels que les applications systémiques et les apartés sont nécessaires pour sortir des situations de blocage.
Le cas présenté: un conflit où les ambiguïtés sont légions et qui aborde à la fois vie privée et la vie professionnelle intra entreprise.
Un couple, avec un enfant de 12 ans, divorce à l’amiable. Elle est gynécologue, lui cardiologue. Ils ne parviennent pas à s’entendre sur la procédure de liquidation du régime matrimonial. Lui désire quitter la clinique privée où ils travaillent tous deux, mais une clause de non-concurrence le contrarie dans la réalisation de son projet d’avenir. Des complications inattendues s’ajoutent et viennent rendre la situation encore plus ardue.
Vu la complexité une co-médiation s’impose. Est-ce que les co-médiateurs vont se comprendre et s’entendre afin de créer un cadre propice à la médiation?
Plus qu’un simple processus de résolution de conflits, la médiation est un art exigeant qui s’apprend. Indépendance, impartialité, neutralité et stricte confidentialité sont les vertus exigées obligatoires du médiateur. En bon chef d’orchestre, il manie avec escient l’écoute ininterrompue des doléances et des besoins des parties. Le médiateur seul peut interrompre pour poser des petites questions ouvertes et efficaces. La reformulation, les silences positifs, l’appel au vécu des parties et à leurs émotions, le décryptage des communications non verbales ainsi que des outils spécifiques tels que les applications systémiques et les apartés sont nécessaires pour sortir des situations de blocage.
Le cas présenté: un conflit où les ambiguïtés sont légions et qui aborde à la fois vie privée et la vie professionnelle intra entreprise.
Un couple, avec un enfant de 12 ans, divorce à l’amiable. Elle est gynécologue, lui cardiologue. Ils ne parviennent pas à s’entendre sur la procédure de liquidation du régime matrimonial. Lui désire quitter la clinique privée où ils travaillent tous deux, mais une clause de non-concurrence le contrarie dans la réalisation de son projet d’avenir. Des complications inattendues s’ajoutent et viennent rendre la situation encore plus ardue.
Vu la complexité une co-médiation s’impose. Est-ce que les co-médiateurs vont se comprendre et s’entendre afin de créer un cadre propice à la médiation?
Texte de Guy A. Bottequin, mise en scène Guy A. Bottequin et Alain Carré
Avec Hélène Hébrard, Stephanie Carré Leclef, Sophie Landresse, Aïssa Derrouaz et Sarkis Ohanessian ainsi que Maître Evelyne Meissirel du Souzy et Maître Olivier Cuperlier
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