Dès le Jeudi
23 au 24 Janvier 2020
La Vie devant soi, le roman de Romain Gary adapté par Simon Delattre, à découvrir les 23 et 24 janvier 2020 au Reflet – Théâtre de Vevey.
«Peut-on vivre sans amour?», cette grande question ouvre La Vie devant soi, roman publié sous le pseudonyme d’Émile Ajar par Romain Gary, Prix Goncourt en 1975.
Momo y raconte le quotidien de sa jeunesse, avec son langage poétique et décalé, dans un immeuble populaire de Belleville. Il vit chez Madame Rosa, vieille femme juive et ex-prostituée qui s’occupe des enfants des filles «parties se défendre en province».
Une histoire d’amour se lie, celle d’une famille qui se choisit et se dessine en dehors du conformisme du modèle familial. Entre théâtre, marionnettes et musique, Simon Delattre adapte avec délicatesse ce roman majeur.
L’altruisme, la solidarité et la générosité sont en effet au centre de cette représentation. Les personnages qui peuplent le récit sont incarnés en scène par une série de marionnettes. Une façon de rappeler à chacun qu’il n’est pas vain de prêter l’oreille à l’enfant tendre qui sommeille en nous. Ce spectacle, qui mêle avec ingéniosité les arts vivants, touche au cœur. Une belle leçon d’humanité.
► En relation avec le spectacle: Le 23 janvier à 19h, présentation de l’œuvre et de la mise en scène par Simon Delattre.
«Peut-on vivre sans amour?», cette grande question ouvre La Vie devant soi, roman publié sous le pseudonyme d’Émile Ajar par Romain Gary, Prix Goncourt en 1975.
Momo y raconte le quotidien de sa jeunesse, avec son langage poétique et décalé, dans un immeuble populaire de Belleville. Il vit chez Madame Rosa, vieille femme juive et ex-prostituée qui s’occupe des enfants des filles «parties se défendre en province».
Une histoire d’amour se lie, celle d’une famille qui se choisit et se dessine en dehors du conformisme du modèle familial. Entre théâtre, marionnettes et musique, Simon Delattre adapte avec délicatesse ce roman majeur.
L’altruisme, la solidarité et la générosité sont en effet au centre de cette représentation. Les personnages qui peuplent le récit sont incarnés en scène par une série de marionnettes. Une façon de rappeler à chacun qu’il n’est pas vain de prêter l’oreille à l’enfant tendre qui sommeille en nous. Ce spectacle, qui mêle avec ingéniosité les arts vivants, touche au cœur. Une belle leçon d’humanité.
► En relation avec le spectacle: Le 23 janvier à 19h, présentation de l’œuvre et de la mise en scène par Simon Delattre.
Avec Nicolas Gousseff, Tigran Mekhitarian, Maïa Le Fourn
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