Dimanche
23 Juin 2019
Bourvil, c'était bien, un spectacle mis en scène par Dimitri Anzules à découvrir au Théâtre du Jorat à Mézières le 23 juin 2019.
Quel délicieux spectacle! Il réunit sept artistes romands, mis en scène par Dimitri Anzules. On pourrait en réalité parler d’un collectif tant l’équipe se montre soudée. Il est vrai que la base de ce projet prend racine en 1998 déjà, lorsqu’une partie de ce groupe prépare un hommage à Bourvil en vue des 30 ans de sa disparition, le 23 septembre 1970. Comme le dit l’un des artisans de cette production, Claude Mordasini: "On ne pouvait pas manquer les 100 ans de ce grand Monsieur. Il a marqué de son empreinte le XXe siècle. Il a légué au patrimoine plus de cinquante films, plus de trois cents chansons et une bonne série d’opérettes et de pièces de théâtre."
Bourvil, c’était bien: le titre du spectacle est presque trop modeste. À voir jouer et chanter les sept artistes, on se dit que Bourvil, c’était carrément génial. On se régale de bout en bout au fil des scènes, des sketches et des chansons, dans un décor tout simple mais soigné de guinguette. Ils chantent ainsi les tubes: Salade de fruits, La tactique du gendarme, Les crayons. Ils revisitent les immanquables: Clair de lune à Maubeuge, La tendresse, Les sourires de Paris. Ils redécouvrent des trésors enfouis: La Mandoline et Douce si douce. Sans oublier les monologues mythiques: Le Conservatoire et, bien sûr, L’eau ferrugineuse, ici interprété par un Pierre Aucaigne qui fait littéralement pleurer de rire.
On savait Bourvil facétieux et timide. Grâce à ce spectacle, on le croit également enchanteur. Remonter ainsi le fil de sa carrière est comme une balade vivifiante en plein coeur du pays des émotions.
Quel délicieux spectacle! Il réunit sept artistes romands, mis en scène par Dimitri Anzules. On pourrait en réalité parler d’un collectif tant l’équipe se montre soudée. Il est vrai que la base de ce projet prend racine en 1998 déjà, lorsqu’une partie de ce groupe prépare un hommage à Bourvil en vue des 30 ans de sa disparition, le 23 septembre 1970. Comme le dit l’un des artisans de cette production, Claude Mordasini: "On ne pouvait pas manquer les 100 ans de ce grand Monsieur. Il a marqué de son empreinte le XXe siècle. Il a légué au patrimoine plus de cinquante films, plus de trois cents chansons et une bonne série d’opérettes et de pièces de théâtre."
Bourvil, c’était bien: le titre du spectacle est presque trop modeste. À voir jouer et chanter les sept artistes, on se dit que Bourvil, c’était carrément génial. On se régale de bout en bout au fil des scènes, des sketches et des chansons, dans un décor tout simple mais soigné de guinguette. Ils chantent ainsi les tubes: Salade de fruits, La tactique du gendarme, Les crayons. Ils revisitent les immanquables: Clair de lune à Maubeuge, La tendresse, Les sourires de Paris. Ils redécouvrent des trésors enfouis: La Mandoline et Douce si douce. Sans oublier les monologues mythiques: Le Conservatoire et, bien sûr, L’eau ferrugineuse, ici interprété par un Pierre Aucaigne qui fait littéralement pleurer de rire.
On savait Bourvil facétieux et timide. Grâce à ce spectacle, on le croit également enchanteur. Remonter ainsi le fil de sa carrière est comme une balade vivifiante en plein coeur du pays des émotions.
Mise en scène Dimitri Anzules
Avec Claude Mordasini, Pascal Rinaldi, Pierre Aucaigne, Thierry Romanens, Maria Mettral, Lionel Buiret et Yves Zbaeren
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