Mercredi
14 Janvier 2026
Bachibouzouk, un spectacle de la Cie Philippe Saire à découvrir en famille le 14 janvier 2026 au Théâtre Benno Besson, Yverdon-les-Bains.
Après le dispositif magique d’Hocus Pocus accueilli la saison passée à l’occasion de représentations scolaires, la Cie Philippe Saire a pris goût aux spectacles jeune public et revient au TBB avec sa toute nouvelle création estampillée jeune public intitulée Bachibouzouk!
Par le biais d’images fortes et étonnantes, de danse où les mots sont rares et de théâtre d’objets, il est question cette fois-ci des utopies communes qui font vivre une amitié !
Un garçon se réveille en pleine nuit dans un monde inconnu qui se fait et se défait, et qu’il doit apprendre à apprivoiser. Au cours de sa quête, il va rencontrer un duo de garçons à la fois clowns, anges gardiens et techniciens, maladroits et téméraires, à l’image de ces mercenaires « bracaillons » de l’Empire ottoman, les Bachibouzouk.
Le terme Bachibouzouk, connu comme une des insultes favorites du capitaine Haddock, provient du nom qu’on attribuait à des mercenaires de l’empire ottoman au XIXème siècle, des soldats mal préparés et équipés de bric et de broc.
En turc, dans le langage courant, le terme est actuellement employé comme une expression positive, et signifie esprit rebelle, intrépide et original.
Par l’entremise de bâches de toutes natures qui jouent avec l’air, manipulées comme par magie pour prendre une multitude de formes, devenant tour à tour paysages, animaux ou personnages fantastiques, les trois garçons vont donc vivre des péripéties pleines de surprises, dans un décor en constante transformation, dans une sorte d’artisanat de l’imaginaire teinté de poésie et d’humour.
Après le dispositif magique d’Hocus Pocus accueilli la saison passée à l’occasion de représentations scolaires, la Cie Philippe Saire a pris goût aux spectacles jeune public et revient au TBB avec sa toute nouvelle création estampillée jeune public intitulée Bachibouzouk!
Par le biais d’images fortes et étonnantes, de danse où les mots sont rares et de théâtre d’objets, il est question cette fois-ci des utopies communes qui font vivre une amitié !
Un garçon se réveille en pleine nuit dans un monde inconnu qui se fait et se défait, et qu’il doit apprendre à apprivoiser. Au cours de sa quête, il va rencontrer un duo de garçons à la fois clowns, anges gardiens et techniciens, maladroits et téméraires, à l’image de ces mercenaires « bracaillons » de l’Empire ottoman, les Bachibouzouk.
Le terme Bachibouzouk, connu comme une des insultes favorites du capitaine Haddock, provient du nom qu’on attribuait à des mercenaires de l’empire ottoman au XIXème siècle, des soldats mal préparés et équipés de bric et de broc.
En turc, dans le langage courant, le terme est actuellement employé comme une expression positive, et signifie esprit rebelle, intrépide et original.
Par l’entremise de bâches de toutes natures qui jouent avec l’air, manipulées comme par magie pour prendre une multitude de formes, devenant tour à tour paysages, animaux ou personnages fantastiques, les trois garçons vont donc vivre des péripéties pleines de surprises, dans un décor en constante transformation, dans une sorte d’artisanat de l’imaginaire teinté de poésie et d’humour.
Grande salle
Philippe Saire en collaboration avec les interprètes, conception et chorégraphie - Philippe Saire, scénographie
Jérémie Nicolet, Louis Bourel, Antonin Mélon, Jérôme Février (en alternance), interprétation
Pour s’y rendre
Agenda
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