Vendredi
13 Mars 2020
Falling Stardust, une chorégraphie de la Cie Amala Dianor à déouvrir le 13 mars 2020 à L'Octogone, Pully, dans le cadre du Printemps de Sévelin.
Oser mêler la gestuelle de la danse classique à celle du hip hop, c’est le pari relevé par Amala Dianor qui a créé l’évènement à Montpellier Danse en réunissant ces disciplines perçues comme opposées.
Pour réussir un tel tour de force, il faut de l’audace et du talent et Amala Dianor semble cumuler ces deux qualités. Comment introduire ce chorégraphe franco-sénégalais? Par son parcours épatant entre hip-hop dès l’âge de 7 ans, et contemporain en tant que «premier hip-hopeur» à intégrer en 2000 l’école du Centre national de danse contemporaine d’Angers?
Par son style flexible, organique et savant? Par ses interprétations pour des chorégraphes aussi différents que Roland Petit ou Emanuel Gat?
Le moyen le plus simple étant de voir ses créations qui parlent pour lui. À la tête de sa propre compagnie depuis 2012, il a connu le succès en 2016 avec son solo Man Rec unanimement salué par les critiques. Depuis lors, il poursuit un chemin qui l’amène vers des horizons toujours plus larges.
Avec The Falling Stardust il jette des passerelles entre le ballet et le hip-hop, en conviant sur le plateau des danseurs classiques et des breakeurs. Généralement habitués à évoluer dans des spectacles basés sur une seule technique, ils sont amenés à se révéler autrement sur un terrain inexploré. Ainsi, quelque part entre ciel et terre, The Falling Stardust se place au milieu de l’infini, au-delà des esthétiques.
► En relation avec le spectacle: Pour les spectateurs assistant, dans le cadre des Printemps de Sévelin, au spectacle d'Aina Alegre programmé plus tôt au Théâtre Sévelin 36, une navette gratuite est disponible vers l'Octogone de Pully sur réservation à info@theatresevelin36.ch
Oser mêler la gestuelle de la danse classique à celle du hip hop, c’est le pari relevé par Amala Dianor qui a créé l’évènement à Montpellier Danse en réunissant ces disciplines perçues comme opposées.
Pour réussir un tel tour de force, il faut de l’audace et du talent et Amala Dianor semble cumuler ces deux qualités. Comment introduire ce chorégraphe franco-sénégalais? Par son parcours épatant entre hip-hop dès l’âge de 7 ans, et contemporain en tant que «premier hip-hopeur» à intégrer en 2000 l’école du Centre national de danse contemporaine d’Angers?
Par son style flexible, organique et savant? Par ses interprétations pour des chorégraphes aussi différents que Roland Petit ou Emanuel Gat?
Le moyen le plus simple étant de voir ses créations qui parlent pour lui. À la tête de sa propre compagnie depuis 2012, il a connu le succès en 2016 avec son solo Man Rec unanimement salué par les critiques. Depuis lors, il poursuit un chemin qui l’amène vers des horizons toujours plus larges.
Avec The Falling Stardust il jette des passerelles entre le ballet et le hip-hop, en conviant sur le plateau des danseurs classiques et des breakeurs. Généralement habitués à évoluer dans des spectacles basés sur une seule technique, ils sont amenés à se révéler autrement sur un terrain inexploré. Ainsi, quelque part entre ciel et terre, The Falling Stardust se place au milieu de l’infini, au-delà des esthétiques.
► En relation avec le spectacle: Pour les spectateurs assistant, dans le cadre des Printemps de Sévelin, au spectacle d'Aina Alegre programmé plus tôt au Théâtre Sévelin 36, une navette gratuite est disponible vers l'Octogone de Pully sur réservation à info@theatresevelin36.ch
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