Vendredi
5 Septembre 2014
François Maurin, alias F.M., célèbre les noces de la pop et du classique, des mélodies populaires et de la tradition savante. S'il est accompagné d'un contrebassiste sur scène, le Français commande surtout un atypique grand orchestre d’instruments automates conçus pour lui : pianola, batterie, xylophone, glockenspiel, boîtes à musique et autres jouets étranges.
Le projet fou d'un musicien frappé dont les arrangements somptueux embrassent pourtant tendrement l'histoire de la pop music pour un répertoire décrit comme du « rock du XIXe siècle ». Mais attention, rien d'anachronique n'affleure dans ses compositions originales et relectures inventives (Blondie ou The Cure) qui, au fil de deux albums irrésistibles, ont vu cohabiter trio de cordes, cor d'harmonie, guitare nylon, orgues divers et voix classieuse.
Le projet fou d'un musicien frappé dont les arrangements somptueux embrassent pourtant tendrement l'histoire de la pop music pour un répertoire décrit comme du « rock du XIXe siècle ». Mais attention, rien d'anachronique n'affleure dans ses compositions originales et relectures inventives (Blondie ou The Cure) qui, au fil de deux albums irrésistibles, ont vu cohabiter trio de cordes, cor d'harmonie, guitare nylon, orgues divers et voix classieuse.
Théâtre Pitoëff à Genève le 5 septembre dans le cadre du Festival de la Bâtie 2014.
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