Samedi
16 Novembre 2019
Back to Bach, un concert d'orgue de Kei Koito à découvrir le 16 novembre 2029 au Temple de Lutry, dans le cadre du 22e Festival Bach de Lausanne.
L’époque voyait en Bach «Incontestablement l’Orphée des Allemands! Et à l’orgue, qui l’égale? Qui lui fut jamais comparable? De la main gauche, il embrassait l’espace de douze notes, apportant la couleur par le jeu des doigts intermédiaires. Il exécutait au pédalier des traits de la plus extrême précision, mêlait les registres les uns aux autres de façon si imperceptible que l’auditeur manquait sombrer dans le tourbillon de ses enchantements.»
Kei Koito propose un large florilège de l’œuvre pour orgue de Bach, de la jeunesse à la maturité.
Très tôt déjà, dès que ses jambes atteignent le pédalier, l’Italie, la France, les Allemagnes (Nord, Centre et Sud) marquent l’esthétique d’un génie impétueux, avide plus tard de copier de sa main Frescobaldi, Grigny et Couperin pour mieux se connaître, et qui saura sur le bout des doigts les Buxtehude, les Muffat, les Pachebel. Bach, plus de deux siècles et demi. Et toujours pas une ride à ces chefs-d’œuvre dédiés au roi des instruments.
__ Programme:
Prelude & Fugue en Do, BWV 545 Nun komm, der Heiden Heiland, BWV 659
Fantasia sur Ein fest Burg ist unser Gott, BWV 720
Herzlich tut mich verlangen, BWV 727
Wo soll ich fliehen hin, BWV 646
Komm, Gott, Schöpfer, Heiliger Geist, BWV 667
Trio en sol Ich will an den Himmel denken , BWV 584, d’après la Cantate 166/2 Wo gehest du hin?
Prelude & Fugue en sol, BWV 535
O Mensch, bewein’ dein’ Sünde groß, BWV 622
Prélude en do, BWV 546/1
Adagio en Do, d’après BWV 1016/1 transcription pour orgue par Kei Koito
An Wasserflüssen Babylon, BWV 653 Toccata & Fugue en ré (dorienne), BWV 538
► Bref commentaire entre les œuvres par Daniel Robellaz
L’époque voyait en Bach «Incontestablement l’Orphée des Allemands! Et à l’orgue, qui l’égale? Qui lui fut jamais comparable? De la main gauche, il embrassait l’espace de douze notes, apportant la couleur par le jeu des doigts intermédiaires. Il exécutait au pédalier des traits de la plus extrême précision, mêlait les registres les uns aux autres de façon si imperceptible que l’auditeur manquait sombrer dans le tourbillon de ses enchantements.»
Kei Koito propose un large florilège de l’œuvre pour orgue de Bach, de la jeunesse à la maturité.
Très tôt déjà, dès que ses jambes atteignent le pédalier, l’Italie, la France, les Allemagnes (Nord, Centre et Sud) marquent l’esthétique d’un génie impétueux, avide plus tard de copier de sa main Frescobaldi, Grigny et Couperin pour mieux se connaître, et qui saura sur le bout des doigts les Buxtehude, les Muffat, les Pachebel. Bach, plus de deux siècles et demi. Et toujours pas une ride à ces chefs-d’œuvre dédiés au roi des instruments.
__ Programme:
Prelude & Fugue en Do, BWV 545 Nun komm, der Heiden Heiland, BWV 659
Fantasia sur Ein fest Burg ist unser Gott, BWV 720
Herzlich tut mich verlangen, BWV 727
Wo soll ich fliehen hin, BWV 646
Komm, Gott, Schöpfer, Heiliger Geist, BWV 667
Trio en sol Ich will an den Himmel denken , BWV 584, d’après la Cantate 166/2 Wo gehest du hin?
Prelude & Fugue en sol, BWV 535
O Mensch, bewein’ dein’ Sünde groß, BWV 622
Prélude en do, BWV 546/1
Adagio en Do, d’après BWV 1016/1 transcription pour orgue par Kei Koito
An Wasserflüssen Babylon, BWV 653 Toccata & Fugue en ré (dorienne), BWV 538
► Bref commentaire entre les œuvres par Daniel Robellaz
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