Steve Roger, directeur administratif de l’Orchestre de la Suisse Romande (OSR), présente la Saison 2020-2021 de l’institution. Celle-ci visitera régulièrement l’oeuvre de Gustav Mahler, dont trois symphonies et des cycles de Lieder seront notamment interprétés, le plus souvent dirigés par le directeur musical Jonathan Nott. Pour la première fois, l’OSR accueille en résidence un instrumentiste: le pianiste tessinois Francesco Piermontesi.

INTERVIEW L’Opéra de Lausanne fête son 150e anniversaire. Sa saison 2020-2021 témoignera généreusement de la diversité des spectacles en représentation depuis un siècle et demi. L’opéra, l’opérette, le spectacle pour enfants, mais aussi la danse et le théâtre sont à l’affiche. Une saison de fête, qui sera lancée par une création d’Eugène Onéguine de Tchaïkovski, qu’Eric Vigié mettra lui-même en scène, dès le 4 octobre.

A LA DÉCOUVERTE DES BEAUX SPECTACLES QUE VOUS NE VERREZ PAS CE PRINTEMPS! leprogramme.ch donne la parole aux créateurs des spectacles annulés. Du 21 avril au 10 mai, Avenir radieux devait pister, au Pull Off Théâtres, les promesses de la modernité et de la croissance illimitée des Trente Glorieuses (1946-1975)

Interview A LA DÉCOUVERTE DES BEAUX SPECTACLES QUE VOUS NE VERREZ PAS CE PRINTEMPS! Les 26 et 27 mars, le Théâtre de Sévelin devait présenter If Only, du chorégraphe Thomas Hauert, une chorégraphie pour six danseuses et danseurs, qui se confronte à la crise climatique et aux grandes désespérances d’avant la pandémie.

A LA DECOUVERTE DES BEAUX SPECTACLES QUE VOUS NE VERREZ PAS CE PRINTEMPS! Pour vous le faire encore davantage regretter et pour vous distraire, leprogramme.ch donne la parole aux artistes et aux créateurs/trices des spectacles annulés. Le 24 mars, L’Echandole proposait de Quitter la Terre. Joël Maillard y étudie une hypothèse de sauvetage de l’humanité.

Du 25 au 29 février à La Grange de Dorigny-UNIL, Fabrice Gorgerat a décidé de ne pas monter Peer Gynt d’Ibsen! Car ce anti-héros faisant fortune dans l’exploitation des ressources naturelles ne fait plus rêver aujourd’hui. L’urgence climatique s’impose. Fabrice Gorgerat et le dramaturge Yoann Moreau donnent des pistes pour comprendre une démarche inédite et diablement séduisante.

Alliant danse, théâtre, musique et arts plastiques, Something of What We’ve Lost, la dernière création de Renée van Trier connue pour son sensible All Can Be Softer nous plonge entre douce attente, vulnérabilité et chansons inventives, décalées sur des rythmes dancefloor. A découvrir à L’Arsenic, Lausanne, du 27 février au 1er mars.