Jeudi
26 Mars 2020
CRISE COVID-19 - SPECTACLE ANNULÉ
COMMUNIQUÉ DU THÉÂTRE
Nature morte / Being born a girl, de Karine Vyncke, à découvrir le 26 mars 2020 à La Grande de Dorigny Lausanne.
Nature morte. Il faut comprendre la performance de la chorégraphe Karin Vyncke comme un voyage dont le point de départ serait la nature morte classique, dans laquelle les objets, les fruits et légumes, les animaux à plumes, à poils ou à écailles sont évoqués et porteurs d’une valeur symbolique.
De là, le voyage se poursuit vers des tableaux de paysages qui reflètent le quotidien, parfois anodin, léger, dans lequel l’accident se produit et évoque la gravité.
Being born a girl est une performance documentaire poétique qui traite des obstacles, de la discrimination et des violences que les femmes peuvent rencontrer au cours de leur existence à travers le monde. S’appuyant sur les textes de l’auteure suisse Emanuelle Delle Piane, elle convoque sur le plateau plusieurs modes d’expression comme les percussions, les claquettes, le chant, la musique et les images vidéo documentaires créées pour l’occasion par la réalisatrice allemande Elena Horn. Une traversée à la fois intime et politique.
► Clôture de saison festive: 2 performances et des surprises !
COMMUNIQUÉ DU THÉÂTRE
Nature morte / Being born a girl, de Karine Vyncke, à découvrir le 26 mars 2020 à La Grande de Dorigny Lausanne.
Nature morte. Il faut comprendre la performance de la chorégraphe Karin Vyncke comme un voyage dont le point de départ serait la nature morte classique, dans laquelle les objets, les fruits et légumes, les animaux à plumes, à poils ou à écailles sont évoqués et porteurs d’une valeur symbolique.
De là, le voyage se poursuit vers des tableaux de paysages qui reflètent le quotidien, parfois anodin, léger, dans lequel l’accident se produit et évoque la gravité.
Being born a girl est une performance documentaire poétique qui traite des obstacles, de la discrimination et des violences que les femmes peuvent rencontrer au cours de leur existence à travers le monde. S’appuyant sur les textes de l’auteure suisse Emanuelle Delle Piane, elle convoque sur le plateau plusieurs modes d’expression comme les percussions, les claquettes, le chant, la musique et les images vidéo documentaires créées pour l’occasion par la réalisatrice allemande Elena Horn. Une traversée à la fois intime et politique.
► Clôture de saison festive: 2 performances et des surprises !
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